Construire un monde de paix, de solidarité, de fraternité et de progrès.
Message de l’UFAC lu par deux élèves du Collège de la Vallée:
Le 8 mai 1945, l’Allemagne nazie capitulait
sans conditions devant les Armées alliées.
Le fascisme hitlérien qui conduisit les peuples européens au désastre, était
vaincu. La guerre en Europe prenait fin, mais
la Seconde Guerre mondiale n’allait se terminer qu'après la capitulation, le 2
septembre 1945, du militarisme japonais.
En ce jour anniversaire, rendons hommage aux innombrables victimes civiles et
militaires des combats meurtriers, des bombardements aériens, de la captivité,
de l’internement, de la déportation, des exécutions, des exterminations et des
génocides.
Il y a soixante-dix ans, le 8 novembre 1942, les Forces alliées, sous le commandement du général Eisenhower, débarquaient au Maroc et en Algérie. Les armées françaises stationnées en Afrique du Nord, jusque-là sous l’autorité du gouvernement de Vichy, rejoignaient celles de la France Libre qui avaient répondu dès le mois de juin 1940, à l’Appel du général de Gaulle.
Puis, ce fut la campagne d’Italie avec notre Armée d’Afrique et son Corps expéditionnaire sous les ordres du général Juin, le débarquement de « ceux de Leclerc » en Normandie, « ceux de De Lattre » en Provence. Autant d’opérations militaires auxquelles la Résistance française contribua grandement par son action permanente sur le terrain.
Saluons le courage et le sacrifice de tous ces soldats de Métropole et d’Outre-mer, des Alliés et des Résistants de tous les pays.
Souvenons-nous ! Beaucoup d’entre eux ont sacrifié leur vie. Que ces pages d’Histoire soient transmises aux jeunes générations.
L’Union française des Associations de Combattants et de Victimes de Guerre engage les forces vives de la Nation et particulièrement la jeunesse, à construire un monde de paix, de solidarité, de fraternité et de progrès.
Vive la République ! Vive la France !
Il y a soixante-dix ans, le 8 novembre 1942, les Forces alliées, sous le commandement du général Eisenhower, débarquaient au Maroc et en Algérie. Les armées françaises stationnées en Afrique du Nord, jusque-là sous l’autorité du gouvernement de Vichy, rejoignaient celles de la France Libre qui avaient répondu dès le mois de juin 1940, à l’Appel du général de Gaulle.
Puis, ce fut la campagne d’Italie avec notre Armée d’Afrique et son Corps expéditionnaire sous les ordres du général Juin, le débarquement de « ceux de Leclerc » en Normandie, « ceux de De Lattre » en Provence. Autant d’opérations militaires auxquelles la Résistance française contribua grandement par son action permanente sur le terrain.
Saluons le courage et le sacrifice de tous ces soldats de Métropole et d’Outre-mer, des Alliés et des Résistants de tous les pays.
Souvenons-nous ! Beaucoup d’entre eux ont sacrifié leur vie. Que ces pages d’Histoire soient transmises aux jeunes générations.
L’Union française des Associations de Combattants et de Victimes de Guerre engage les forces vives de la Nation et particulièrement la jeunesse, à construire un monde de paix, de solidarité, de fraternité et de progrès.
Vive la République ! Vive la France !
Message de Monsieur Marc LAFFINEUR Secrétaire d'Etat auprès du ministre de la Défense et des Anciens combattants lu par Monsieur le Maire d'Avon:
Après plus de cinq longues années de guerre, le nazisme est anéanti. C'est la fin du cauchemar que l'Europe a enfanté, qu'elle a traversé, qu'elle a vaincu. A l'Ouest, les démocraties sont victorieuses.
La liberté l'a emporté. L'hitlérisme ne menace plus l'Europe et le reste du monde. Si l'humanité découvre l'enfer des camps de concentration et d'extermination, leur oeuvre de destruction monstrueuse a enfin cessé.
Tout au long de ce conflit, les Français ont vécu, ou survécu, entre crainte et espoir. En 1942, dont nous commémorons cette année le 70ème anniversaire, ces deux sentiments sont mêlés comme jamais.
La liberté l'a emporté. L'hitlérisme ne menace plus l'Europe et le reste du monde. Si l'humanité découvre l'enfer des camps de concentration et d'extermination, leur oeuvre de destruction monstrueuse a enfin cessé.
Tout au long de ce conflit, les Français ont vécu, ou survécu, entre crainte et espoir. En 1942, dont nous commémorons cette année le 70ème anniversaire, ces deux sentiments sont mêlés comme jamais.
1942, c'est en effet le temps de la honte, avec la mise en oeuvre de la Shoah, le port de l'Etoile jaune, les grandes rafles, les premiers convois vers Auschwitz. C'est le temps de la faim, de la peur, du mépris, celui des fusillades d'otages, de la Relève, de la conscription obligatoire - avant le S.T.O - pour aller travailler en Allemagne.
Mais 1942, c'est aussi le temps des espérances : les premières ripostes alliées, l'arrêt de la pénétration allemande sur le front russe, et la lueur d'espoir qui naît dans le désert libyen quand, à Bir Hakeim, des soldats de la France libre enrayent l'avance ennemie ; c'est aussi le débarquement allié en Afrique du Nord, prélude à la reconstitution de l'armée d'Afrique. C'est enfin l'année où, dans l'ombre, se multiplient les contacts entre mouvements et réseaux clandestins qui vont renforcer la Résistance intérieure.
Le 8 mai 1945, c'est la fin de ce temps de la crainte, l'aboutissement de ce temps de l'espoir, la Victoire.
En France, cette victoire est le fruit de l'effort, du courage, du sacrifice de toutes celles et de tous ceux qui n'ont jamais désespéré. A l'instar du Général de Gaulle, tous ont eu foi en notre pays, en sa capacité à mener le juste combat contre tout ce que le XXème siècle connaissait de plus absurde et de plus monstrueux.
Grâce à ces hommes et à ces femmes, différents par leurs origines, leurs histoires, leurs cultures, mais réunis par un idéal commun, la France a pu, après la guerre retrouver pleinement son rang dans le concert des Nations.
Leur exemple a toujours valeur d'actualité. Car ils nous ont prouvé ce qu'une Nation riche de son histoire, portée par une même aspiration, unissant ses forces, est capable de réaliser pour surmonter l'insurmontable.
En France, cette victoire est le fruit de l'effort, du courage, du sacrifice de toutes celles et de tous ceux qui n'ont jamais désespéré. A l'instar du Général de Gaulle, tous ont eu foi en notre pays, en sa capacité à mener le juste combat contre tout ce que le XXème siècle connaissait de plus absurde et de plus monstrueux.
Grâce à ces hommes et à ces femmes, différents par leurs origines, leurs histoires, leurs cultures, mais réunis par un idéal commun, la France a pu, après la guerre retrouver pleinement son rang dans le concert des Nations.
Leur exemple a toujours valeur d'actualité. Car ils nous ont prouvé ce qu'une Nation riche de son histoire, portée par une même aspiration, unissant ses forces, est capable de réaliser pour surmonter l'insurmontable.